Les récents évènements sanitaires nous ont amené à intégrer de plus en plus le sujet de la qualité de l’air intérieur comme un enjeu sanitaire primordial.
Tout d’abord, avec la fin du télétravail obligatoire et le retour dans les bureaux, les salariés sont devenus plus exigeants quand à leur confort et à la qualité de l’air dans les bâtiments tertiaires, et plus largement mobilisés autour du sujet de la qualité de vie au travail (QVT).
A titre plus individuel, la salubrité des locaux d’habitation et plus globalement la sensation de bien-être dans son logement est devenu un sujet de préoccupation, tout particulièrement dans les foyers avec des enfants.
Les polluants dans l’air intérieur provoquent des désagréments en matière de bien-être et peuvent être dangereux pour la santé. En fonction de leur niveau de concentration dans l’air, de la sensibilité des personnes qui y sont exposé, et du temps d’exposition, les effets sont bien entendus différents.
Les 3 sources de pollution de l’air intérieur dans votre logement :
Les contaminants biologiques : en raison d’une condensation trop importante, souvent due à une ventilation inefficace, des bactéries ou des champignons peuvent se propager dans l’air.Les conséquences sont respiratoires : asthme, toux, bronchites surtout chez les plus jeunes et les personnes âgées.
Les contaminants de type COV : les Composés Organiques Volatils sont des microparticules issues des matériaux de construction et d’ameublement (isolants, meubles et panneaux en fibres de bois, peintures murales, sols en linoléum, etc…).
Ils provoquent maux de têtes, irritations cutanées et problèmes respiratoires.
Les gaz inodores et incolores : l’ozone, le monoxyde de carbone et le CO2 en trop grande quantité induisent maux de tête, irritation des muqueuses (yeux, nez et voies respiratoires), vertiges, nausées et peuvent même parfois être mortels.
Pour résumer, l’air que l’on croit parfois sain dans son logement peut être malheureusement pollué, et souvent dû à un mauvais entretien de votre ventilation. Une ventilation résidentielle doit être nettoyée régulièrement (pour la partie visible et accessible) et la maintenance annuelle de votre VMC vous garantira un renouvellement d’air suffisant pour éviter moisissures et élimination des gaz nocifs.
Une qualité de l’air (QAI) mauvaise su le lieu de travail est également source d’inconfort mais aussi de chute de performance.
Plusieurs études ont pointé une baisse cognitive chez les salariés qui étaient exposés à de trop fort niveau de particules fines, de CO2, d’humidité ou de température.
Une étude récente de l’école de santé d’Harvard, réalisée en 2021 auprès de 300 personnes pendant toute une année, montre une baisse significative des temps de réponse et des facultés de concentration, même chez les jeunes adultes, tout particulièrement lorsque le niveau de ventilation est trop faible.
Le renouvellement de l’air permet donc d’assurer une meilleure productivité à l’entreprise et garantie le bien être des salariés. Dans un monde qui change, dans lequel RSE et santé sont au coeur des préoccupations de tous, il est crucial de faire appel à un expert de la ventilation pour vous accompagner dans la recherche du bien-être de vos salariés.
